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Extrait:Tous les scénarios restent encore sur la table. La date de sortie officielle du Royaume-Uni de l'Union européenne est pourtant dans moins de deux semaines, le 29 mars. Elle pourrait être repoussée, ou bien le pays risque de se séparer de l'Union sans accord. On évoque aussi la possibilité d'un secon
Francfort, en Allemagne. Unsplash/Marius Christensen
Tous les scénarios restent encore sur la table. La date de sortie officielle du Royaume-Uni de l'Union européenne est pourtant dans moins de deux semaines, le 29 mars. Elle pourrait être repoussée, ou bien le pays risque de se séparer de l'Union sans accord. On évoque aussi la possibilité d'un second référendum. Les Européens semblent en tout cas contre toute renégociation de l'accord conclu fin novembre avec le Royaume-Uni et que les députés britanniques ont rejeté à la Chambre des communes.
Sans attendre le dénouement du Brexit, plusieurs acteurs du monde de la finance ont déjà fait savoir qu'ils allaient délocaliser une partie de leurs activités ailleurs en Europe, dans d'autres villes du continent. Ils pourront ainsi toujours proposer leurs services dans l'ensemble des pays membres de l'Union européenne (UE). Selon le cabinet d'audit financier EY, qui effectue un suivi des annonces des banques, courtiers, gestionnaires d'actifs et assureurs, dans le cadre de son Brexit Tracker mis à jour mercredi 20 mars, environ 7 000 emplois devraient ainsi être délocalisés. En outre, pas moins de 1 000 milliards de livres sterling (1 150 milliards d'euros) d'actifs financiers devraient être transférés vers d'autres villes de l'UE, contre 800 milliards de livres prévus à fin novembre 2018.
EY estime que ce montant “devrait probablement augmenter à mesure que nous approchons du Brexit”, sachant que le secteur bancaire britannique pèserait au total près de 8 000 milliards de livres.
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“Mais, à l'approche du jour J, nous devons reconnaître qu'il existe des risques qui sont hors du contrôle du secteur. Aucune entreprise de services financiers ne peut savoir avec certitude l'impact d'un Brexit désordonné sur elles-mêmes, ses clients, les gens et les chaînes d'approvisionnement ou, plus généralement, sur l'économie britannique”, précise Oma Ali, responsable des services financiers d'EY au Royaume-Uni.
Voici les villes européennes qui devraient accueillir le plus de sociétés financières dans la foulée du Brexit, à partir du relevé effectué par EY sur les délocalisations d'actifs et de personnel envisagées ou confirmées par les acteurs du secteur :
7 ex-aequo. Bruxelles : 5
Pixabay/Walkerssk
7 ex aequo. Milan : 5
Pixabay
5 ex aequo. Madrid : 6
Pixabay/falco
5 ex aequo. Amsterdam : 6
Pixabay/Sebastian Herrmann
4. Paris : 18
Paris La Défense. Pixabay/hrohmann
3. Luxembourg : 19
Pixabay
2. Francfort : 21
Unsplash/Marius Christensen
1. Dublin : 28
Pixabay.com
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