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Extrait:L'Etat français est prêt à réduire sa part dans Renault afin de consolider l'alliance entre le groupe au losange et le japonais Nissan, a déclaré samedi le ministre de l'Economie et des Finances dans un entretien à l'AFP. L'Eta
(Reuters) - L'Etat français est prêt à réduire sa part dans Renault afin de consolider l'alliance entre le groupe au losange et le japonais Nissan, a déclaré samedi le ministre de l'Economie et des Finances dans un entretien à l'AFP.
L'Etat possède 15% du capital de Renault, qui détient 43,4% de Nissan. Le groupe japonais possède 15% de Renault, mais sans droit de vote. Cette relation est depuis longtemps jugée déséquilibrée par Nissan.
Bruno Le Maire s'exprimait en marge des réunions des ministres des Finances et banquiers centraux du G20 à Fukuoka, au Japon, deux jours après le coup de tonnerre provoqué par le retrait par Fiat Chrysler Automobiles (FCA) de son projet de fusion de 30 milliards d'euros avec le constructeur français.
Le ministre de l'Economie et des Finances a déclaré à l'AFP que sa priorité était de “consolider l'alliance” Renault-Nissan avant de songer à un rapprochement avec un autre constructeur.
“Remettons les choses dans le bon ordre”, a expliqué Bruno Le Maire. “Dans le bon ordre, ça veut dire d'abord la consolidation de l'alliance, et ensuite la consolidation (avec d'autres partenaires), et pas l'un avant l'autre, parce que sinon vous risquez que tout s'effondre comme un château de cartes.”
“Nous pouvons réduire la part de l'Etat dans le capital” de Renault, a ajouté le ministre. “Cela ne pose pas de difficultés sous réserve qu'au bout du compte on ait une alliance plus solide entre les deux grands constructeurs automobiles que sont Renault et Nissan.”
A propos d'autres éventuels rapprochements, “nous sommes ouverts à toutes les possibilités de consolidation sous réserve que l'ensemble des partenaires soient d'accord”, a poursuivi Bruno Le Maire.
Mais “sur des sujets qui engagent des centaines de milliers d'emplois, il faut prendre son temps, nous n'agirons pas dans la précipitation”.
Jeudi, le ministre de l'Economie avait déclaré que l'Etat français restait ouvert à des opérations de rapprochement pour Renault mais menées sans précipitation et garantissant les intérêts industriels du constructeur automobile comme de la France.
Ni Renault ni Nissan n'étaient disponibles dans l'immédiat pour commenter cette interview.
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