简体中文
繁體中文
English
Pусский
日本語
ภาษาไทย
Tiếng Việt
Bahasa Indonesia
Español
हिन्दी
Filippiiniläinen
Français
Deutsch
Português
Türkçe
한국어
العربية
Extrait:EssilorLuxottica mise sur la demande d'une classe moyenne en pleine expansion à travers le monde pour gonfler ses ventes de lunettes dans les années à venir. Son bénéfice devrait aussi profiter de réductions de coûts susce
PARIS (Reuters) - EssilorLuxottica mise sur la demande d'une classe moyenne en pleine expansion à travers le monde pour gonfler ses ventes de lunettes dans les années à venir.
Son bénéfice devrait aussi profiter de réductions de coûts susceptibles d'atteindre 600 millions d'euros par an à partir de 2022 à la suite de la fusion entre le spécialiste français des verres optiques et le lunetier italien.
Dans des documents publiés mercredi sur son site internet en prévision d'une journée pour les investisseurs à Londres, le fabricant des lunettes Ray-Ban dit viser une croissance de ses ventes de l'ordre de 5% à taux de changes constants au cours des cinq prochaines années, après une augmentation de 3,2% en 2018 à 16,1 milliards d'euros.
Le bénéfice net ajusté devrait pour sa part progresser à un rythme 1 à 1,5 fois plus rapide que le chiffre d'affaires.
Certains investisseurs et analystes, notamment le fonds activiste Third Point, sont impatients de savoir comment le groupe atteindra les synergies promises et organisera sa direction après les batailles qui ont opposé les camps français et italien après cette fusion à 48 milliards d'euros.
EssilorLuxottica se dit “en voie d'atteindre les objectifs de synergie” et met en avant 160 projets dédiés impliquant plus de 800 employés sur un effectif total de plus de 150.000 personnes.
Les chaînes d'approvisionnement vont être unifiées tandis que les réseaux de laboratoires vont être réorganisés dans un souci d'efficacité.
Le groupe compte aussi se doter d'un directeur général d'ici la fin de l'année prochaine.
Les synergies étaient au coeur de ce projet de fusion entre Essilor, connu notamment pour ses lentilles Varilux, et Luxottica, propriétaire de marques telles qu'Oakley ou Persol, outre Ray-Ban.
L'opération a été présentée en 2017 comme une “fusion entre égaux”. Elle a toutefois été rapidement fragilisée par une crise de gouvernance liée à des différends entre Leonardo Del Vecchio, fondateur de Luxottica, et Hubert Sagnières, PDG d'Essilor.
Les deux camps ont conclu une trêve en mai mais le groupe doit encore trouver un nouveau directeur général.
Au-delà de ces problèmes de gouvernance, EssilorLuxottica va avoir un autre défi à relever dans les mois à venir avec son projet d'acquisition du réseau d'opticiens GrandVision pour 7,2 milliards d'euros en numéraire, une opération qu'il souhaite finaliser d'ici mi-2021.
Avertissement:
Les opinions exprimées dans cet article représentent le point de vue personnel de l'auteur et ne constituent pas des conseils d'investissement de la plateforme. La plateforme ne garantit pas l'exactitude, l'exhaustivité ou l'actualité des informations contenues dans cet article et n'est pas responsable de toute perte résultant de l'utilisation ou de la confiance dans les informations contenues dans cet article.
FBS
Vantage
IC Markets Global
FXTM
XM
GO MARKETS
FBS
Vantage
IC Markets Global
FXTM
XM
GO MARKETS
FBS
Vantage
IC Markets Global
FXTM
XM
GO MARKETS
FBS
Vantage
IC Markets Global
FXTM
XM
GO MARKETS